1 août 2006
Réveil
Lorsqu'il fut l'heure d'être le matin, j'ai réveillé mon âme et mes rèves se sont envolés. Tu n'étais plus là, lovée contre moi, blottie contre ma poitrine, ton souffle dans mon cou. Quelle belle nuit avons nous passée mon bel ange..
Je dois l'avouer, plusieurs fois le désir a brulé mon corps mais le tien reposait si sereinement que je n'ai pas osé briser ces instants magiques. Cette enveloppe humaine qui te déplait parfois ne cesse, moi, de m'émouvoir ! Comme je t'aime...
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